On l’a dit et redit, ça été écrit et réécrit qu’entre Cellou Dalein et ses militants, c’est un lien fusionnel, une relation sacrée que ni le temps ni l’espace encore moins le ressentiment d’autrui ne pourra affecter, effacer ou ébranler.
Le pacte militants scellé entre la base et Cellou va au-delà des simples convictions et engagements, c’est un état d’esprit et une communauté de douleurs bâtis sur des frustrations, des exclusions et des humiliations. Cellou est la somme toute faite de cette douleur infligée.
Leur familiarité construite autour de valeurs d’amour et de fidélité absolues, fait de ce parti un roc au mystère impénétrable.
Penser pouvoir détruire l’UFDG en débauchant ses cadres est l’illusion la plus abstraite qu’un rêveur pourrait se faire.
Malgré le vacarme assourdissant des sirènes à la tonalité confusionniste, la sérénité caractérise chaque décision, la raison inonde chaque propos.
Le jusqu’au-boutisme habite chaque militant et l’intransigeance assumée du leader galvanise la troupe.
Cellou, en homme politique avisé et rationnel, victime de plusieurs dialogues sait mieux quiconque que la fermeté, la constance dans le jeu politique finira toujours par payer.
Personne ne pourra vider l’UFDG de sa substance (militants).
Pour preuve, des Grands noms qui faisaient croire à l’opinion qu’ils avaient des contingents de militants fidèles ont quitté le parti sans drainer un seul individu.
Combien de cadres du parti se sont retrouvés dehors alors que leurs départs présageaient une implosion à mille morceaux du mouvement?
De Saliou Bella à Bah Oury, en passant par Yarie Briki et autres, l’UFDG n’a jamais été forte qu’à leurs départs.
Cette campagne de débauchage entretenue n’impactera le parti ni dans ses convictions ni dans sa détermination encore moins dans sa légitime fermeté.
Et Cellou lui, n’est ni décrié ni défié et encore moins dépassé.
La dernière réunion extraordinaire du Conseil Politique en dit long sur la légitimité de l’homme et l’adhésion de la masse militante à sa cause qu’elle juge conforme aux valeurs du parti et à l’idéal défendu depuis toujours.
Le pacte militants est solide, sincère et vrai.
A l’UFDG, ce n’est pas le sommet qui fait peur, c’est la base. Et cette dernière est avec son leader charismatique.
Pour paraphraser un artiste, entre Dalein et ses poulains: ‘’ c’est soudé, collé et cimenté’’. Seuls les sots tenteront l’impossible !
Wassalam !
Cheick Ahmed Fofana.