Quand la haine, la médiocrité, la mythomanie et l’irresponsabilité administrative s’entrechoquent dans un empire qui manque abyssale ment de sainteté, c’est le cataclysme pour les uns et la béatitude pour les autres.
Dans une bataille longtemps engagée entre un consulat et un grand nombre d’étudiants, qui de facto résolut à piétiner trop souvent le rêve de certains étudiants guinéens qui désirent par un manque criard d’écoles chez eux pouvant répondre à la hauteur des enjeux du savoir et de la connaissance dans un monde de la concurrence et de l’expertise avérée, font un choix aussi juste qu’il soit celui de choisir la France comme pays de destination dans le cadre de la poursuite de leurs études au grand dam de cette horde sauvage composée d’imbéciles en manque d’éducation administrative, de véritables récidivistes qui se plaisent à traîner dans la boue des étudiants braves, autant dire jeter en pâture une équipe de jeunes dynamiques et aux compétences avérées.
Le problème serait compris par plus d’un, si ces derniers étaient frappés par un défaut de qualité ou leurs aptitudes intellectuelles étaient déficientes par rapport à ceux qu’ils délivrent les visas. L’exemple de beaucoup d’amis partis illustre les esprits. Malheureusement, on cherche des poux sur des crânes rasés. Ils agissent sans avoir la moindre crainte de Dieu, et des hommes qui laissent leurs crimes impunis, c’est sans tenir compte de la morale et de ses les limites. Peu importe !
Cependant implantés sur le territoire d’un pays qui pleure tant ses années de retard que d’évolution, aspirant largement retrouvée sa vraie valeur chose qui n’est possible qu’avec des intellectuels qui veulent changer l’ordre de la pyramide d’un pays aux multiples paradoxes, cela peut ressembler aux étudiants qui aspirent se former en France et revenir consoler leur pays du retard dont il pleure, retard dans lequel ces mêmes gens ont leur grosse part de responsabilité.
Mais pour l’instant cela semble sans cesse repoussé aux calendes grecques à l’affût d’un temps qui avance sans attendre qui que ce soit pour quoi que ce soit. Pourtant la portée et la finalité de cette bataille estudiantine concerne un pays déjà en chaos complet et à son retard grandissant, sa réussite est pour tout le pays et profitera à tous. Y compris ceux qui n’y croient pas, qui en font partir ou s’y opposent, par instinct, autour d’eux et bien au-delà.
Tant que ses chenapans, ne comprendront pas que pour traiter une demande de visa, il faut un esprit saint dans un corps saint ils ne pourront jamais se comporter commodément envers des pauvres étudiants assoiffés d’une formation de qualité pour essuyer les larmes d’un pays qui a tout mais qui manque de tout et dont la France qu’il pense être l’eldorado autant dire le pays de cocagne s’est longtemps servi pour bâtir ses universités de qualités sans omettre tout ce qui s’en suit, continue toujours à se servir de-lui comme si cela est éternelle.
À quoi bon sert, de refuser d’octroyer le visa à un étudiant ayant présenté un dossier complet et parfait, ayant prouvé ses ressources financières pouvant lui permettre de survivre durant son vivoir en France ? Mais l’ignorance des bonnes manières consulaires ayant toujours fait défaut à ses put bills enragés, des maniaques en liberté.
Cette cohorte d’ignares, si ce n’était pas par méconnaissance, éviteraient de se comporter ainsi. Pour leur propre gouverne et de celle du consulat entier, le consul est le seul ordonnateur des octrois de visas et le chargé consulaire s’exécute. Il est vrai qu’un agent consulaire n’a de compte à rendre qu’à lui-même et n’est redevable à personne, même l’ambassadeur n’a aucun ordre à l’imposer, donc réputé indépendant, mais ce n’est pour autant qu’il peut se permettre d’aller au-delà de sa souveraineté de décision.
Cependant l’agent consulaire doit se doter d’un pouvoir extraordinaire pour trancher sur la base du mérite et l’excellence, en se débarrassant de l’idée d’être le seul être humain doté du « cogito ergosum», cela lui éviterait de pêcher en eaux troubles, qui est une méconnaissance impardonnable que chaque consul se donne autant de pouvoirs, de privilèges que les prescriptions juridiques, consulaires ne lui en accordent.
La mauvaise foi qui caractérise la manière biaisée et méphistophélique du consulat, c’est aussi le cas des griefs portés contre notre pays depuis les heures d’indépendance et les relations étatiques qui ne sont au beau fixe entre la France et la Guinée. C’est ubuesque.
Le consulat de France en Guinée, manque de sapience tout simplement, comme le dit une sagesse de chez nous : ‘’C’est par ignorance qu’on ne trouve pas les bons par mis les bons’’. Mais on dit souvent que la confusion est fille de l’ignorance et la mythomanie est le symbole de mépris en soi. Que le consulat balaie devant sa porte, sa supercherie consiste à voir la paille dans l’œil de son voisin et ne pas voir une poutre dans le sien. Bref, un balai édenté ne rend jamais propre, et le consulat n’est pas un bon exemple de personnes justes.
Qu’il nous mixe une autre chanson mais en attendant, qu’il comprenne que à beau faire du mal aux autres l’on finira un jour dans l’abîme du même mal ! Autorités consulaire faites très attention pour éviter de faire face un jour à la colère des étudiants qui sont rongés par ce que vous faites.
Le pari de la portée de l’histoire est celui-ci, l’apocalypse qui prévaut sera-t-elle du pain bénit pour les empêchés et la mort dans l’âme pour les empêcheurs ? Une question à l’histoire la réponse dans l’avenir.
Aboubakr Guilavogui, leader du mouvement de la palingénésie de l’ancien gouvernement panafricain en exil (La FEANF).