Assemblée générale hebdomadaire du Parti de l’Espoir pour le Développement National (Pedn), Lansana Kouyaté y était ce samedi avec ses partisans. L’ancien premier ministre guinéen est rentré au pays après plusieurs semaines de mission de son parti à l’extérieur.
Il a profité de cette occasion pour expliquer son positionnement et celui des 100 partis qui composent la coalition politique denommée la convergence centriste pour l’Espoir. Coalition à la quelle appartient le PEDN.
«Je dis oui à ce cadre de dialogue et quelles que soient les questions qu’on se pose je vais les éclaircir la. C’est au niveau des dialogues qu’on peut les éclaircir, poser les conditions préalables doit se faire dans le cadre de la démarche et cela ne va faire que retarder les choses. A quoi ça sert de dire: ils ont fait ceci ou cela ? Allons au dialogue, peut-être que l’écart uart entre nous est faible mais la forme est différente. Pour un dialogue apaisé, nous irons donc à ce dialogue on a reçu déjà le comité des facillitatrices et nous recevons le Premier ministre au temps juste. Le PEDN a dit non à la violence pour une transition apaisée et avec nos partenaires de la Convergence Centriste pour l’Espoir (CCE), qui a été créée ici au PEDN ainsi que le forum pour une transition apaisée qui comporte au moins une centaine de partis », a expliqué le leader du PEDN
Et de lâcher, «Il faut d’abord que les vérités soivent dites sous les formes qu’il faut de façon apaisée, pour que chacun entende, pour que chacun comprenne que s’il veut ceci et que l’autre veut cela et qu’on se retrouve à un point médiane et qu’à partir de cela que nos rêves soient accomplis et que la date de la transition soit connue et que tout ce qu’il y a comme question au niveau des partis politiques, des syndicats et sociétés civiles et même de la population soient résolus pour un dialogue».
Une position opposée à celle du quator qui pense ques le jeu politique est biaisé par le CNRD. Dans une déclaration rendue publique, les quatre coalitions, dont l’ANAD et cie ont haussé le ton et demandent un retour rapide à l’ordre constitutionnel.
Mohamed Saliou Camara